Dérives à la Sorbonne... pensée deco, art deco, quartier chaud, bechamel froide sur le matelas, aphrodisiaques, infusions de science, bouteilles molotov, vengeance et barricade
dimanche 26 juillet 2015
vendredi 24 juillet 2015
jeudi 23 juillet 2015
dimanche 19 juillet 2015
textes dialectiques (1)
Quelle "belle œuvre" que cette œuvre de haine construite contre les femmes ! Votre délire est articulé autour de ça, vous ne vivez que pour étaler votre mélasse merdique et miséreuse dans le grand trou cosmique d'Internet, et là vous vous sentez exister, ayant comblé le vide inhérent à votre personne. Vous ne cessez d'injurier, de calomnier, de rabaisser les autres et surtout les femmes (et surtout celles que vous avez côtoyées). Vous faites passer votre confusion mentale paranoïaque pour de la poésie, mais cela ne leurre personne. Toute personne sensée peut rapidement deviner que vous n'êtes pas un véritable artiste, mais un faiseur de caca qui cherche à se défouler indéfiniment, préférant la quantité indifférenciée à la qualité du travail. Inouï ! (sic)
Devant la verbe de mes créancières et avec mon entorse à la main gauche j’ai du mal à concevoir que l’ennemi de mon travail artistique puissent être les femmes, ou les feministes, dont j’ai étudié quelque chose. Me trouvant en compagnie de femmes qui me prennaient pour déversoir de la haine, le non-lieu où il n’est pas grave merder; et me trouvant en même temps en jouissance du plein de bon côtés de leur compagnie; puisque la haine a des pauses; je me déclare innocent de mes états de panique puisque souvent l’attitude envers moi est la cause directe des dérapages qui arrivent de temps à autre dans mes états de panique; à une autre époque tout cela se serait parlé et élaboré ensemble avec aucune suspicacité ou captieux.
Je crois que je traverse dans l’intimité une sorte d’age du soupçon, nous avons la quarantaine et quart et les amours ratés reviennent chez elle et chez moi, nous acculant à l’échec.
Possiblement ici ma pathologie est en avance davantage que dans d’autres textes, je ne crois à la thése du premier paragraphe qui rend impossible le travail artistique et même onirique ou du désir; Je crois que j’ai étè artiste, même si pour repondre à une infamie dans laquelle j’ai été trempé je ne peux qu’avoir l’impureté dans ma défense même.
Il est malveillant de faire censurer sans appel tout un travail réalisé en commun et faire occulter son existence pour après traiter de médiocre l’artiste qui a été à votre côté
Je devrais avoir le droit de penser que ce qui s’est passé a pu me rendre plus sage, mais évidemment je ne suis en position de venir à être félicité ni “appuyé”; mais en revanche, l’aprentisage étant la seule justification de toute punition, l’on ne peut dire davantage que je suis encore puni, et content de l’être, soumis comme je suis aux malédictions matinales de prophétesses et sirènes.
*
Depuis quelques jours je ne vois Amapola que sur l’écran. Separados pero no divorciados. Todo y su contrario. Séparés mais pas divorcés. Je transpire des gouttes de mer tropical, il y a du Miami Beach dans l’air. Ma famille est au courant que je fume dans ma chambre. Le soleil est si fort dehors que l’on reste au noir dans les chambres. Devant mon écran je pense à la dernière fois que j’ai eu Amapola à l’écran, son sourire, ses grands yeux profonds, son corps léger et tonique de gitane. Nous avons été couple depuis plus de six mois. Nous avons pu nous connaître en homme et femme, ou nous détester sous tous les habits méprisables. Du moins que l’on peut sans se faire mal. J’aimerais que ça ait été vrai.
Je me suis fait mal, comme toujours, je traine en lambeaux, je dégénère. Je suis partout étranger.
De mes différentes couples, que par fidélité n’ont pas été dupes et ont eu une durée respectueuse qui permet se connaître, peindre, écrire, s’inspirer, il y en a eu quand même trois où la violence a fait apparition et pour lesquelles la décision de rupture a été la mienne. Il est certain qu’Amapola et moi, tous deux du même âge, il était drôle de nous mettre à comparer nos vies amoureuses. Des amours tristes, de grandes illusions. Des amours ouvriers. Chaque jour l’argent avait pas apparu; les premiers malaises.
Le théâtre de la vésanie qui m’a marqué des années avec Jeanne, sa dite exploration de la folie, qui n’ètait qu’un dépècement de l’autre. Je ne vois plus rien au miroir, je me répresente morcelé, schyzophrène. Je me suis empoisonné avec de medocs, pris en urgence par les pompiers, du moins deux fois, je suis sorti parfois seul d’un hôpital. La prison ne me fait plus peur. La sodomie est pas plus que l’extase d’une petite mouche. Tout et rien. La sodomie du policier, du tortionnaire espagnol qui refait surface après les événements de 2011. Même le pire au sens métaphysique ne nous fait peur. Mais qu’une femme nous crie aux oreilles qu’on est le pire, que le pire c’est nous, cela nous exaspère.
Mais le seul geste contre Jeanne a été de renverser une cafétière d’une gifle devant elle. En revanche je ne sais pas comment le scandale était permanent. Avec Amapola j’ai voulu fuir pour ne pas lui faire mal. Je ne maîtrise plus le démon de peur et rancune qui m’occupe. Mon visage se tord et j’ai pris une fois un couteau, une autre un fer, et finalement j’ai tapé la nuque de Amapola avec une bûche de bois pour le chauffage.
Ce sont donc des passages à l’acte mais ils se ressemblent à ce que j’ai été vitupéré ou dépossedé. En tout cas ma tête paranoïaque se sent attaquée, le stress me perturbe. Jeanne d’abord, puis Amapola m’ont traîté de psychopathe. Le médécin a l’air de croire que c’est vrai.
*
mis padres me dan un miedo bastante real
he pillado historias que se traían y que hago lo posible por olvidar, no puedo más
[13:10:59] Bissecta Script: Courage
[13:11:10] Manuel Montero: gracias
[13:12:00] Manuel Montero: j'espère arriver vivant à mon atelier et rester très longtemps
[13:12:25] Manuel Montero: je suis preoccupé pour Patricia
[13:12:40] Manuel Montero: je ne veux pas qu'on nous separe
[13:13:03] Manuel Montero: les commentaires sur elle sont sarcastiques et brutaux
[13:13:27] Bissecta Script: Désolée
[13:13:52] Manuel Montero: du moins tu le sais
[13:13:54] Bissecta Script: Vous allez y arriver
[13:14:27] Manuel Montero: mes parents considèrent que les êtres humains sont de la poubelle
[13:15:01] Manuel Montero: je ne peux plus suivre
[13:15:07] Bissecta Script: Et cela te dérange
[13:15:27] Manuel Montero: quelle vie me reste, où a été jetté mon coeur ?
[13:16:47] Bissecta Script: Dans votre jardin d'Éden à Pat et à toi
[13:17:00] Manuel Montero: le jardin des fous
[13:17:31] Bissecta Script: Des êtres féeriques
[13:17:38] Manuel Montero: où les petits cailloux sont vivants et respirent peu
[13:18:10] Bissecta Script: Ils te guideront qui sait
[13:19:02] Manuel Montero: je veux un jour raconter ça aux petits comme un conte d'autrefois
[13:19:18] Bissecta Script: Bonne idée
[13:19:41] Bissecta Script: Je vais bouger
[13:19:46] Manuel Montero: ok
[13:19:55] Manuel Montero: kiss
[13:20:08] Bissecta Script: Bonne après midi Manuel
[13:20:21] Bissecta Script: Kiss-kiss!!
[13:20:30] Manuel Montero: sister !!!
*
Assommé par la chaleur de l’été, celle du début qui a tort on appelle canicule, quand la canicule est régie par Regulus, une étoile du Signe du Lion, Je veux dire qu’on reste,.
J'ai encore le renouveau de mes raisons d'exil loin de l'Espagne (et de ma famille qui est un concentré de raisons pour migrer ) : 1) interdiction des commentaires contre la monarchie, qui passent à relever du domaine du "terrorisme", même à titre privé 2)interdiction de representer en oeuvre d'art ou multimédia la consommation de drogue3) emprisonement des malades mentaux même sans délit, par décission des juges verreux 4) une église qui est la plus sinistre du monde et contre laquelle même le Pape François ne peut même pas signaler les cas de pédophilie (droit de cuissage clerical pour l'archeveque de Grenade, confrerie des ogres) 5) etc
Enfin, ce sont des raisons d'artiste pour partir de l'Espagne au bout d'une semaine, les raisons pour quitter Paris existent aussi, mais ce n'est pas à moi de les numéroter ici parce que je n'ai pas encore abandonné cette Terre Promise
Cher Epagneul triste
Coupez-vous un doigt, vous regretterez la phalange.
1/ Il n'y a aucune raison de commenter la monarchie puisque tout le monde a le droit de l'approuver. Seriez-vous con et/ou de gauche ?
2/ L'art n'a rien à voir avec la drogue, sinon c'est de l'art dégénéré. Et l'art dégénéré n'a rien à faire en Europe. Raus
3/ Etre malade mental est en soi un délit. Donc c'est normal qu'on les enferme. Vous voudriez quoi, qu'on leur donne un voyage gratuit ? Salaud d'anarzichste
4/ La plupart des juges portent des lunettes
5/ Tous les pédophiles sont curés
(ou l'inverse, à vous de choisir, je ne me souviens plus dans quel sens il faut lire ça)
Pour Paris, Suicidez-vous au cachet d'aspirine, c'est tendance. On mettra un faire-part dans la revue, elle est de plus en plus lue : ça vous fera de la pub
Partagé entre une hilarité sourde et l'ennui qui me produisent ceux qui imitent sans fortune mon particulier décousu, j'ai eu besoin d'une sieste (nocturne) pour venir me solidariser avec le ''Mouvement d'Agitation Libertaire'' méchamment parodié par un micheton qui se croit capable de dissimuler par un texte drolatique la médiocrité de ce qu'il peut se paier comme jeu d'esprit.
Découragé par la multitude de constats, je vais pas dire l'avenir de sa réponse se voulant avenante avec une consommation de bananes qu'on m'attribue par hypocrisie, pour aller chercher le THC là où il n'y a pas.
Est-ce que vous êtes une femme ? Votre commentaire releve du flirt, de la coqueterie, et en même temps l'insanie et la vésanie de vos arguments parlent bien du puissant orgasme qui soustend votre vision d'avenir, et pour l'Espagne et pour Paris. Je n'aurais rêvé qu'on me saute avec une telle determination. Si j'ai pu être misogyne selon certains, vous avez curé cela me considérant avec une réponse ainsi passionnée. Pourquoi m'aiguicher ainsi ? Semen retentum malum est
Autre possibilité est que vous soyez le médecin sadique, l'auteur catholique que j'avais ridiculisé autrefois ici, mon papa, jaloux et conspirateur, ou Krane (le pauvre, il est un gentil je crois pas, et pourquoi se dissimuler ainsi ? si c'est Krane alors merci), ou Léo (astrologiquement ) ou le nommé knight ou son proche Nicolai Lo Russo (qui resta agacé de mon silence), enfin tous ces fantômes qui voulant se venger de devoir me lire continuent leurs trilogies et ne les finisent jamais.
Parce que toutes ces mauvaises consciences s'évertuent et s'eventrent à lire ce que je publie comme si c'ètait obligatoire. Je sais que l'èmulation est un grand catalyseur, et pour preuve ma réponse. Mais l'émulation par le bas, recopiant à rebours pour accoucher le publiable c'est degueulasse; l'émulation, et dans le style et dans les idées, se doit de la parcimonie et de la loyauté. Ne seriez vous le Ministre de l'Intérieur espagnol ? parce que vous exprimez ses idéaux, il aura fait ça à l'aide d'un nazillon parisien fils à papa; mais non, lui au moins il ne prétend être ingénieux, il continue le chemin fade et maternel du dictateur, il est l'horreur sans aditifs, il n'a de prétension du moins, juste emprisoner ceux qui vont pas en exil, il faut dire qu'il perd pas son temps.
Le suicide aux médocs je l'ai déjà fait et ça soulage, mais il faut que ce soient des aspirines comme avant, celles qui sont fondantes et pétillantes, et non pas le paracetamol merdique qui risque de tuer tout le monde pour de vrai.
Enfin, vous voudriez m'imiter (inversé, et pour cela vous vouliez savoir quelle était ma gauche), moi je voudrais être à la hauteur, mais à quoi bon ?
Je vous ai laissé un peu de yutub zinema, sur le commentaire du MAL, dadaïste grandi; encore merci.
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